Boundou Sylla, certainement, ce nom qui rime avec l’apocalypse vous rappelle son passé de journaliste à la réputation douteuse et au parcours de kleenex des grands salons ou de pleureur professionnel dans l’infini besoin?
Que les larmes de misère, d’un extrême pauvre déversées à Addis-Abeba ou à Rabat en 2010, pour avoir échoué à une tentative d’arnaque pour dit-on, réparer l’image d’un président de la transition pour une somme de 30.000% ne soient pas opposées à un individu qui oublie vite hier et qui ne se rappelle jamais de son bienfaiteur! Et si le chapeau te fait, mets-le !
Notre Dr en papier, pardon, autoproclamé au parcours académique contestable, champion en délation et fouineur avec un odorat taillé à la poche est devenu depuis un certain temps, par son incompétence avérée et ses agissements reconnus un cadre isolé et à la fréquentation indésirable.
Nommé comme Secrétaire Général d’un ministère technique pour sa proximité d’alors avec l’ancien Premier ministre Mohamed Béavogui, Boundou Sylla dont les lacunes et autres limites en matière de gestion ne sont plus à prouver est cruellement, avec le temps, devenu un être hostile à la critique et rejeté de son milieu professionnel.
Lui qui n’hésitait pas de tirer sur tout ce qui bougeait ou du moins qui refusait de satisfaire à ses quémandes ne veut plus être opposé à son passé de sinistre journaliste, de quémandeur doctorant et d’éternel insatisfait et insatiable.
Et pire, depuis le débarquement de l’ancien premier ministre Mohamed Béavogui, Boundou Sylla ne chante plus les mérites de ce dernier. Le vent a tourné et il ne se rappelle plus du bienfait de celui qui l’a sorti d’une profonde misère avec l’étiquette de journaliste-mendiant.
Et ce n’est pas tout, notre donneur de leçon à fait disparaître toutes ses critiques sur sa page Facebook à l’encontre de l’ancien régime d’Alpha Condé pour ne pas être aujourd’hui soumis au même supplice ? N’est-ce pas là un signe de fausseté ou de faux-brave de sa part ?
Ce texte n’est que le début d’un long feuilleton qui ne connaitra son épilogue que quand il fera amende honorable et façon publique !
A bientôt, pour un nouvel épisode, cher Boundou !
Par Habib Marouane Camara, Journaliste-chroniqueur.