Mamby Camara chauffeur de profession et Massa Konaté, couturière ont scellé leur union le 04 juin 2021 à N’Zérékoré.
Malheureusement, cette union n’a été que de courte durée et l’aventure s’estompe quelques heures après la célébration du mariage.
Au moment où les deux tourtereaux s’envolaient pour leur première nuit de noce, la nouvelle mariée change d’avis.
Selon des témoignages reçus auprès du couple, la jeune fille a utilisé le bol de sauce d’un repas déposé à côté du lit pour asperger son mari dans la chambre avant qu’elle ne tente de prendre la poudre d’escampette.
Ce sont les cris du marié qui ont alerté ses amis assis non loin, autour d’un thé pour une ‘’veillée’’ à l’honneur du couple.
Joint au téléphone par le correspondant régional du site lerevelateur224.com, le grand frère du jeune marié revient sur le film de l’événement.
‘’Le jour du mariage, après le salon de coiffure nous sommes allés à la maison sans problème. C’est aux environs de 2h du matin que la fille s’est levée pour chercher un couteau elle n’a pas trouvé. Et elle a pris la sauce de leur repas jeter à la figure de son mari. C’est en ce moment, les amis du marié qui faisaient le thé dans la cour ont entendu mon jeune frère (marié) crier. Apportez de l’eau !!!. C’est ainsi, ils l’ont secouru, sur le coup ils m’ont appelé, m’expliquer la situation.
Ils ont conduit la fille chez moi dans la même nuit. J’ai demandé à la fille qu’est-ce qui se passe ? Elle me dit qu’elle n’est plus dans le mariage, de la ramener chez ses parents. Je lui ai demandé est-ce que tu nous a dit ça ? Non et tes parent ? Oui ils sont informés’’, a expliqué, Abdoulaye Diawara grand frère du marié.
A la question de savoir si elle a été forcée ou pas ? le grand frère du jeune marié répond :
« Personne ne les a unis, on les a vus ensemble et mon jeune frère m’a dit qu’il veut de la fille n mariage et la fille a confirmé devant moi et d’autre personne aussi. C’est ainsi, nous avons commencé les procédures de mariage. Si la fille a été forcée, elle ne nous a jamais montré ça. Parce qu’elle venait derrière moi chaque jour au travail, je donne de l’argent, on achetait ses habits de fête chaque fois et elle partait chez moi à la maison derrière ma femme pour l’aider à certains travaux. Comment aujourd’hui elle peut dire qu’elle a été forcée, ça c’est faux », a-t-il martelé.
Aux dernières nouvelles, l’affaire est déjà à la justice. La jeune mariée affirme ne pas être constante pour le mariage.
Sa famille a été brièvement interpellée par le commissariat central avant de recouvrer sa liberté.
A suivre !
Souleymane Naturel Condé
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