Ne dit-on pas que la critique nous aveugle et l’analyse nous ouvre l’esprit ?
Certainement que vous avez entendu parler du poulet froussard ?
Il crie partout et en tous lieux que le ciel va nous tomber dessus, il devient ainsi cet oiseau de mauvais augures. Parce qu’il est annonciateur de mauvaises nouvelles non pas que les nouvelles sont telles mais parce que le poulet froussard a peur et en fait ses habitudes.
Cette peur d’être mis à nu, d’être pris dans le désastre de ses hallucinations.
La peur d’être découvert dans ses élucubrations éhontées.
Dans les égarements d’un pique-assiette qui traîne avec sa bosse de malheurs et galères veut s’offrir le luxe virtuel d’une sainteté remarquable avec une moralité irréprochable mais qui pourtant, et très malheureusement est un barbouze dont l’écrit sert au mieux offrant.
Il ne sert pas à grand-chose de polémiquer avec quelqu’un qui a perdu le sens de la raison, qui voit aux autres la faute de son retard et la source de ses propres errements.
Chacun est fils de ses œuvres, maître de son destin.
Contrairement aux clichés développés dans un torchon à charge, fumant haines et galère sèche, Tibou Kamara suit son destin, sert son peuple et reste fidèle à ses convictions invariables. Loyauté, sincérité, vérité, paix et amour pour ses semblables.
Servir son peuple, une fois, deux fois, trois fois, quatre fois et avec plusieurs Présidents, il faut rendre grâce à Dieu et Tibou n’est redevable qu’à l’éternel et reste reconnaissant aux hommes qui placent en lui, leur confiance et amitié.
Le chien aboie, la caravane passe et Tibou n’a pas le temps de ralentir.
Tu peux continuer à le haïr, à le détester, à le vilipender mais ce qu’il est, il l’est.
Et ce n’est pas une vache à lait qu’un traitre va traire !
C’est quelle sorcellerie ça ? Je ne veux pas de toi mais j’aime bien ce que tu as.
Ceci n’est qu’un avertissement, c’est la fumée le feu arrive bientôt !
Marouane.